Release Date:

Downloads include choice of MP3, WAV, or FLAC

Enregistré à l’automne 2012, Just for my Lady témoigne d’abord du formidable rapport qui s’est développé au fil des ans entre Jones et ses collaborateurs de longue date, le vétéran contrebassiste Éric Lagacé et l’extraordinaire batteur Jim Doxas, véritable étoile montante au firmament du jazz d’ici. Sur les morceaux au rythme enlevé (« Josée’s Blues ») comme sur les ballades mélancoliques (« When Summer Comes »), le trio fait preuve d’une époustouflante synergie qui puise à même le profond respect, l’affection sincère et la confiance inébranlable que chaque membre du groupe ressent manifestement pour les autres.

La présence imposante d’un invité de marque, Josée Aidans au violon, constitue un bel apport au swing et à l’élégance déjà remarquable. Avec une qualité d’émotion qui rappelle le panache d’un Stéphane Grappelli (particulièrement dans la relecture de « Windmills of Your Mind » de Michel Legrand), Aidains s’intègre sans effort au groupe, comme s’il en avait toujours fait partie, et fait néanmoins entendre une voix distincte qui invite gentiment les autres à se dépasser.

Just For My Lady

Oliver Jones, Josée Aidans

Select Format

Downloads include choice of MP3, WAV, or FLAC

Enregistré à l’automne 2012, Just for my Lady témoigne d’abord du formidable rapport qui s’est développé au fil des ans entre Jones et ses collaborateurs de longue date, le vétéran contrebassiste Éric Lagacé et l’extraordinaire batteur Jim Doxas, véritable étoile montante au firmament du jazz d’ici. Sur les morceaux au rythme enlevé (« Josée’s Blues ») comme sur les ballades mélancoliques (« When Summer Comes »), le trio fait preuve d’une époustouflante synergie qui puise à même le profond respect, l’affection sincère et la confiance inébranlable que chaque membre du groupe ressent manifestement pour les autres.

La présence imposante d’un invité de marque, Josée Aidans au violon, constitue un bel apport au swing et à l’élégance déjà remarquable. Avec une qualité d’émotion qui rappelle le panache d’un Stéphane Grappelli (particulièrement dans la relecture de « Windmills of Your Mind » de Michel Legrand), Aidains s’intègre sans effort au groupe, comme s’il en avait toujours fait partie, et fait néanmoins entendre une voix distincte qui invite gentiment les autres à se dépasser.