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Pour son deuxième album avec Justin Time, Mirror Image, Matt Herskowitz voulait explorer ce qui est un thème de plus en plus prééminent dans son jeu et ses compositions : la réconciliation de ses identités jazz et classique. L’artiste fait la symbiose de ces deux éléments depuis quelques années, mais ses compositions favorisaient toujours l’un ou l‘autre.

Or, depuis qu’il a produit deux albums d’arrangements de Bach, un projet Chopin avec un trio jazz et quelques autres réalisations hybrides, le musicien voulait explorer la fusion des styles dans le contexte de sa musique originale et des compositions classiques, sauf cette fois avec un Matt Herskowitz seul avec son piano, pur et simple.

En réfléchissant sur quel répertoire se pencher pour ce projet, certaines mélodies bien familières se sont mises à tourner dans sa tête… il a vite réalisé qu’il s’agissait de vieilles pièces qu’il n’avait jamais enregistrées, qui avaient représenté ses premiers pas sur le terrain de la composition jazz.

Ces « chansons » ont été composées lors de sa transition de la musique classique vers le jazz, et elles ont en commun de fusionner de manière très organique des harmonies jazz contemporain enrobées dans une approche classique – ce qui lui a semblé un merveilleux point de départ. L’improvisation fait également partie intégrale de ces pièces.

À l’époque l’artiste n’était pas assez avancé en tant que musicien jazz pour être en mesure d’improviser sur les progressions harmoniques sinueuses et complexes qui se rangeaient à l’extérieur des règles « habituelles » du jazz. Maintenant, interprété à travers le prisme de 25 ans d’expérience dans les musiques jazz, pop et mondiales, ces compositions peuvent maintenant atteindre le bon équilibre, en termes d’arrangements et d’improvisations, sans affecter fondamentalement ce qu’elles sont. 

« Je sens que ce disque réunit enfin mes côtés classique et jazz, vieux et nouveau, d’une manière très organique. Qu’il s’agisse de Tribute to John Coates, le concerto Ravel ou le Gnossienne no. 1 de Satie, on parle d’un son cohésif, un style qui a ses racines dans deux univers qu’on pourrait croire à l’opposé, mais qui ne le sont pas; le classique et le jazz se nourrissent mutuellement depuis les débuts du 20e siècle, et depuis ce temps-là leurs histoires musicales reflètent cette inspiration bidirectionnelle. »

Mirror Image

Matt Herskowitz

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Pour son deuxième album avec Justin Time, Mirror Image, Matt Herskowitz voulait explorer ce qui est un thème de plus en plus prééminent dans son jeu et ses compositions : la réconciliation de ses identités jazz et classique. L’artiste fait la symbiose de ces deux éléments depuis quelques années, mais ses compositions favorisaient toujours l’un ou l‘autre.

Or, depuis qu’il a produit deux albums d’arrangements de Bach, un projet Chopin avec un trio jazz et quelques autres réalisations hybrides, le musicien voulait explorer la fusion des styles dans le contexte de sa musique originale et des compositions classiques, sauf cette fois avec un Matt Herskowitz seul avec son piano, pur et simple.

En réfléchissant sur quel répertoire se pencher pour ce projet, certaines mélodies bien familières se sont mises à tourner dans sa tête… il a vite réalisé qu’il s’agissait de vieilles pièces qu’il n’avait jamais enregistrées, qui avaient représenté ses premiers pas sur le terrain de la composition jazz.

Ces « chansons » ont été composées lors de sa transition de la musique classique vers le jazz, et elles ont en commun de fusionner de manière très organique des harmonies jazz contemporain enrobées dans une approche classique – ce qui lui a semblé un merveilleux point de départ. L’improvisation fait également partie intégrale de ces pièces.

À l’époque l’artiste n’était pas assez avancé en tant que musicien jazz pour être en mesure d’improviser sur les progressions harmoniques sinueuses et complexes qui se rangeaient à l’extérieur des règles « habituelles » du jazz. Maintenant, interprété à travers le prisme de 25 ans d’expérience dans les musiques jazz, pop et mondiales, ces compositions peuvent maintenant atteindre le bon équilibre, en termes d’arrangements et d’improvisations, sans affecter fondamentalement ce qu’elles sont. 

« Je sens que ce disque réunit enfin mes côtés classique et jazz, vieux et nouveau, d’une manière très organique. Qu’il s’agisse de Tribute to John Coates, le concerto Ravel ou le Gnossienne no. 1 de Satie, on parle d’un son cohésif, un style qui a ses racines dans deux univers qu’on pourrait croire à l’opposé, mais qui ne le sont pas; le classique et le jazz se nourrissent mutuellement depuis les débuts du 20e siècle, et depuis ce temps-là leurs histoires musicales reflètent cette inspiration bidirectionnelle. »