Release Date:
Downloads include choice of MP3, WAV, or FLAC
Après avoir remporté un prix Juno avec Debut, son premier disque, voilà que la bassiste Brandi Disterheft marque un second début avec le lancement d'un premier opus sous étiquette Justin Time, intitulé Second Side. Ce nouvel album, des plus audacieux, a été réalisé par l'incomparable Rhys Fulber, de la formation Delirium, avec nulles autres que les chanteuses Holly Cole et Ranee Lee en tant qu'artistes invitées. Second Side, le premier enregistrement de Brandi Disterheft sous étiquette Justin Time, sera lancé le 15 septembre. Regorgeant de joie et de surprises, cet audacieux album de la bassiste et compositrice, lauréate d'un Juno, se veut également un authentique hymne à l'Amour.
En fait, Second Side déborde de fraîcheur et réunit avec brio son goût pour l'aventure et son non-conformisme, de même que son désir de procurer un bon divertissement, tant à ses fans, toujours plus nombreux, qu'à elle-même. De la pièce d'ouverture avec son ambiance de film noir (Sketches of Belief) jusqu'à la toute dernière piste, qui met en vedette la chanteuse Ranee Lee (This Time the Dream's On Me), Second Side est un album enrichissant qui doit son raffinement aux diverses sonorités apposées par le réalisateur Rhys Fulber. « Brandi est une artiste unique », de dire Fulber. « Elle respecte profondément le genre qu'elle a choisi, tout en osant prendre des risques. Bien qu'elle ait une bonne connaissance du jazz, elle est toujours désireuse d'en outrepasser les frontières. »
Le Canada, qui abrite depuis longtemps un vaste bassin de musiciens exceptionnels, n'exclut certainement pas ceux qui s'adonnent au jazz. Les fascinantes idées de Brandi trouvent toutefois leur écho auprès d'un public qui recherche un style musical sortant des sentiers battus du jazz traditionnel et transcendant les prétentions parfois associées à la scène indé. Avec ses ambiances qui oscillent entre différents genres musicaux, Second Side offre une écoute des plus satisfaisantes.
Second Side saisit l'auditeur dès ses premiers accords. Inspirée de la pièce Sketches of Spain de Miles Davis, Sketches of Belief propose un environnement sonore luxuriant et cinématique, voire panoramique, d'où s'élèvent l'éblouissant jeu du trompettiste William Sperandei, de même que celui du saxophoniste Chris Gale. On peut d'ailleurs entendre leur solide contribution sur plusieurs pistes de l'album.
Sur Combien de Chances, l'une des deux pièces chantées par Brandi (en français!), on retrouve un message qui peut sembler sérieux et quelque peu politisé. Pourtant, cette chanson est pourvue d'une grande richesse sonore et s'avère on ne peut plus divertissante, avec sa guitare aux allures surf (rappelant le jeu de Lennon sur Walking on Thin Ice, de Yoko Ono), ses rythmes entraînants et ses cuivres mariachis.
Quant à la pièce Second Dawn, un « dialogue » musical s'installe entre le kalimba et la contrebasse; s'y ajoutent les motifs rythmiques aux sonorités quasi industrielles du batteur Sly Juhas, pour un résultat d'une surprenante efficacité. Cette piste constitue par ailleurs la première des trois courtes compositions instrumentales que l'on retrouve sur cet album (suivent Dawn et A Night In Haiti), lesquelles valent tout autant le détour que les pièces vocales, louvoyant habilement entre les thèmes omniprésents de l'Amour, de la défaite, de la rédemption et de la transcendance.
Brandi offre ensuite une remarquable prestation vocale sur Twilight Curtain, laquelle chanson met également de l'avant la réalisation pour le moins exceptionnelle de Fulber. La pièce My Only Friends Are the Pigeons révèle pour sa part le jeu passionné de Chris Gale, lui qui poursuit la tradition amorcée par les saxophonistes axés sur le groove, tels David « Fathead » Newman et Johnny Griffin.
Coécrite avec la chanteuse Holly Cole, He's Walkin', qui relate la fin d'une relation dont la protagoniste ressort triomphante, plus mûre, mais aussi nostalgique, compte sans contredit parmi les meilleurs moments de l'album. Malgré le sujet qu'elle aborde, cette pièce se veut enjouée et animée, et la prestation de Cole évoque la période « Fujiyama Mama » de Wanda Jackson, époque où la reine du rockabilly était au sommet de la gloire.
Sur Liege, une berceuse ainsi nommée en l'honneur de cette ville belge, la bassiste tisse une chaleureuse complicité avec la pianiste Stacie McGregor, laquelle livre un jeu exceptionnel tout au long de l'album. D'une simplicité trompeuse, cette charmante composition n'est pas sans rappeler Satie.
Au début de la pièce judicieusement intitulée Let Her Shine, Brandi brille en solo et vient confirmer les dires d'Oscar Peterson : « She is what we call serious. » Avec assurance et autorité, la bassiste dissipe tout doute quant à son habileté à jouer de son instrument.
Il n'est guère étonnant que cet album, essentiellement constitué de compositions originales, prenne fin sur les notes d'un standard. Après tout, Brandi Disterheft voue un profond respect au passé, tout en ayant une soif d'aventure bien dosée, avec un pied solidement ancré dans le futur. « J'ai grandi en écoutant Ranee Lee, et j'étais donc très contente qu'elle puisse participer à cet album. Sa voix est formidable sur cette piste! », ajoute-t-elle. Cette pièce est parfaitement de mise pour conclure ce magnifique album, qui se veut en quelque sorte une méditation sur l'Amour et ses multiples visages.
Brandi Disterheft n'est certes pas de celles qui se reposent sur leurs lauriers, comme en fait foi cet impressionnant opus succédant à son excellent premier disque. Toutefois, il apparaît évident qu'elle ne fait que commencer à révéler tout le potentiel de son insatiable créativité. Éblouissant album s'il en est un, Second Side donne une folle envie de découvrir la prochaine merveille qu'elle nous concoctera. On ne peut que l'attendre… avec impatience! ************************
Pour plus d'informations, veuillez communiquer avec : Jane Harbury Publicity au (416) 960-1568 et jane@harbury.ca. Au Québec, veuillez communiquer avec Simon Fauteux/Six Media Marketing au 514-544-7013 et simon@sixmedia.ca.
Second Side
Brandi Disterheft
Downloads include choice of MP3, WAV, or FLAC
Après avoir remporté un prix Juno avec Debut, son premier disque, voilà que la bassiste Brandi Disterheft marque un second début avec le lancement d'un premier opus sous étiquette Justin Time, intitulé Second Side. Ce nouvel album, des plus audacieux, a été réalisé par l'incomparable Rhys Fulber, de la formation Delirium, avec nulles autres que les chanteuses Holly Cole et Ranee Lee en tant qu'artistes invitées. Second Side, le premier enregistrement de Brandi Disterheft sous étiquette Justin Time, sera lancé le 15 septembre. Regorgeant de joie et de surprises, cet audacieux album de la bassiste et compositrice, lauréate d'un Juno, se veut également un authentique hymne à l'Amour.
En fait, Second Side déborde de fraîcheur et réunit avec brio son goût pour l'aventure et son non-conformisme, de même que son désir de procurer un bon divertissement, tant à ses fans, toujours plus nombreux, qu'à elle-même. De la pièce d'ouverture avec son ambiance de film noir (Sketches of Belief) jusqu'à la toute dernière piste, qui met en vedette la chanteuse Ranee Lee (This Time the Dream's On Me), Second Side est un album enrichissant qui doit son raffinement aux diverses sonorités apposées par le réalisateur Rhys Fulber. « Brandi est une artiste unique », de dire Fulber. « Elle respecte profondément le genre qu'elle a choisi, tout en osant prendre des risques. Bien qu'elle ait une bonne connaissance du jazz, elle est toujours désireuse d'en outrepasser les frontières. »
Le Canada, qui abrite depuis longtemps un vaste bassin de musiciens exceptionnels, n'exclut certainement pas ceux qui s'adonnent au jazz. Les fascinantes idées de Brandi trouvent toutefois leur écho auprès d'un public qui recherche un style musical sortant des sentiers battus du jazz traditionnel et transcendant les prétentions parfois associées à la scène indé. Avec ses ambiances qui oscillent entre différents genres musicaux, Second Side offre une écoute des plus satisfaisantes.
Second Side saisit l'auditeur dès ses premiers accords. Inspirée de la pièce Sketches of Spain de Miles Davis, Sketches of Belief propose un environnement sonore luxuriant et cinématique, voire panoramique, d'où s'élèvent l'éblouissant jeu du trompettiste William Sperandei, de même que celui du saxophoniste Chris Gale. On peut d'ailleurs entendre leur solide contribution sur plusieurs pistes de l'album.
Sur Combien de Chances, l'une des deux pièces chantées par Brandi (en français!), on retrouve un message qui peut sembler sérieux et quelque peu politisé. Pourtant, cette chanson est pourvue d'une grande richesse sonore et s'avère on ne peut plus divertissante, avec sa guitare aux allures surf (rappelant le jeu de Lennon sur Walking on Thin Ice, de Yoko Ono), ses rythmes entraînants et ses cuivres mariachis.
Quant à la pièce Second Dawn, un « dialogue » musical s'installe entre le kalimba et la contrebasse; s'y ajoutent les motifs rythmiques aux sonorités quasi industrielles du batteur Sly Juhas, pour un résultat d'une surprenante efficacité. Cette piste constitue par ailleurs la première des trois courtes compositions instrumentales que l'on retrouve sur cet album (suivent Dawn et A Night In Haiti), lesquelles valent tout autant le détour que les pièces vocales, louvoyant habilement entre les thèmes omniprésents de l'Amour, de la défaite, de la rédemption et de la transcendance.
Brandi offre ensuite une remarquable prestation vocale sur Twilight Curtain, laquelle chanson met également de l'avant la réalisation pour le moins exceptionnelle de Fulber. La pièce My Only Friends Are the Pigeons révèle pour sa part le jeu passionné de Chris Gale, lui qui poursuit la tradition amorcée par les saxophonistes axés sur le groove, tels David « Fathead » Newman et Johnny Griffin.
Coécrite avec la chanteuse Holly Cole, He's Walkin', qui relate la fin d'une relation dont la protagoniste ressort triomphante, plus mûre, mais aussi nostalgique, compte sans contredit parmi les meilleurs moments de l'album. Malgré le sujet qu'elle aborde, cette pièce se veut enjouée et animée, et la prestation de Cole évoque la période « Fujiyama Mama » de Wanda Jackson, époque où la reine du rockabilly était au sommet de la gloire.
Sur Liege, une berceuse ainsi nommée en l'honneur de cette ville belge, la bassiste tisse une chaleureuse complicité avec la pianiste Stacie McGregor, laquelle livre un jeu exceptionnel tout au long de l'album. D'une simplicité trompeuse, cette charmante composition n'est pas sans rappeler Satie.
Au début de la pièce judicieusement intitulée Let Her Shine, Brandi brille en solo et vient confirmer les dires d'Oscar Peterson : « She is what we call serious. » Avec assurance et autorité, la bassiste dissipe tout doute quant à son habileté à jouer de son instrument.
Il n'est guère étonnant que cet album, essentiellement constitué de compositions originales, prenne fin sur les notes d'un standard. Après tout, Brandi Disterheft voue un profond respect au passé, tout en ayant une soif d'aventure bien dosée, avec un pied solidement ancré dans le futur. « J'ai grandi en écoutant Ranee Lee, et j'étais donc très contente qu'elle puisse participer à cet album. Sa voix est formidable sur cette piste! », ajoute-t-elle. Cette pièce est parfaitement de mise pour conclure ce magnifique album, qui se veut en quelque sorte une méditation sur l'Amour et ses multiples visages.
Brandi Disterheft n'est certes pas de celles qui se reposent sur leurs lauriers, comme en fait foi cet impressionnant opus succédant à son excellent premier disque. Toutefois, il apparaît évident qu'elle ne fait que commencer à révéler tout le potentiel de son insatiable créativité. Éblouissant album s'il en est un, Second Side donne une folle envie de découvrir la prochaine merveille qu'elle nous concoctera. On ne peut que l'attendre… avec impatience! ************************
Pour plus d'informations, veuillez communiquer avec : Jane Harbury Publicity au (416) 960-1568 et jane@harbury.ca. Au Québec, veuillez communiquer avec Simon Fauteux/Six Media Marketing au 514-544-7013 et simon@sixmedia.ca.